Jour 3 : Sur la route d’Aréquipa, « la plage de Tanaka »

Nous faisons une halte sur la plage de Tanaka, la baignade est interdite, présence de coraux.

Nous retrouvons sur la plage, tout près du pacifique, de magnifiques apachetas entourés de cactus géants.

Nous profitons de ce spectacle grandiose où ciel et océan ne font qu’un et où les cactus originaires d’Amérique du Sud sont démesurés (5 m). Il en existe 130 sortes !

Une immense plage déserte!

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Notre butin : quelques coquillages et squelette de crabes, des fruits pour la route et quelques souvenirs.

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Une drôle de bicyclette et un drôle de « marchand » qui , d’une main, nous dit au revoir et de l’autre , profite de la situation…
Oh ! que ces péruviens sont coquins !…
Après notre passage, la jeune vendeuse de marionnettes en laine remballe son petit comme sa marchandise dans un plaid multicolore , et porte le tout sur le dos.

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Jour 3 : Sur la route d’Aréquipa « la faille de Nazca »

Aujourd’hui, la route est longue jusqu’à notre destination Aréquipa « la ville blanche » (soit 450km environ, 9h de route). Aussi nous nous sommes levés tôt, le guide nous annonce que demain ce sera « grasse matinée » (9h), chic.
Le décalage horaire nous perturbe depuis notre arrivée (on ne sait plus où on habite)!…

Petit déj, pour certains au bord de la piscine 

Ce matin, le survol de 20 minutes du site de Nazca avec de petits avions (plutôt de vieux coucous!) nous est proposé à 120 € (sur la brochure du voyage : 80€), personne ne le fera… Comme partout, ils profitent de la manne touristique.

    

Aujourd’hui le soleil est là mais sur la route, nous trouvons le brouillard ça et là au bord de ce désert noir où se dressent quelques habitations sommaires .

Dans le désert, il pleut une heure par an environ. Cette année, il y a eu un peu de pluie d’où la pousse de certaines plantes qui aujourd’hui sont sèches.

Région sismique, nous découvrons la faille de Nazca ( fissure faite lors de tremblements de terre, il y a plusieurs millions d’années) qui se jette à la mer .

 La faille de Nazca est le témoignage géologique de la rencontre entre la plaque tectonique du Pacifique et celle des Andes qui se heurtent.

C’est le vent qui modèle les dunes en permanence et qui, à tout moment, peuvent envahir et bloquer la route.

Le spectacle qui s’offre à nous est impressionnant! C’est GÉANT!!!

  

La vallée de Yauca est bordée d’oliviers à droite  d’où son nom de vallée des oliviers

A gauche, des rochers dans lesquels on peut voir des couches de coquillages fossilisés.
Nous nous arrêtons pour les voir de près et les photographier.

  

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Nous reprenons le bus dans ce désert de pierres où ça et là, des tas semblent avoir été fabriqués de la main de l’homme. Ce sont des apachetas.

Les apachetas (monticules de pierres adoratoires) signifiant en quechua « à celui qui porte » témoignent du passage de marcheurs, les apachetas étaient des lieux de dévotion pour les voyageurs.

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Parfois ,  paysage lunaire, terre noire jonchée de milliers d’apachetas contrastant avec les montagnes enneigées à l’horizon, mines exploitées par des chinois, à l’origine de l’importation du riz au Pérou..

Les paysages âpres et rudes d’une beauté surréaliste entre Océan Pacifique et les premiers sommets volcaniques…

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Nous traversons le désert côtier, entrecoupé d’oasis verdoyantes.

La vallée de l’Ocoña avec ses cultures et la mer, les rizières et les rivières d’écrevisses.
Cultures rendues possibles grâce à l’irrigation du désert.

 Maisons rudimentaires sans toit, ni chauffage, sans eau, ni électricité!, apachétas et même cimetière jalonnent ce désert côtier (vallée de l’Ocoña). 

  IMGP9371  DSCN8318Moyens de transports pour se déplacer aller à la plage ou pour gagner leur vie (taxicycles).

Cimetière d’ Ocoña en plein désert.

                                                                                                                                                              

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Jour 2 : NAZCA

A Nazca: visite prévue de la tour d’Observation construite sur une colline avoisinante d’où l’on peut observer certaines des lignes de Nazca comme l’arbre, l’oiseau, le lézard et les mains… leur signification reste énigmatique.

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Ces lignes sont situées dans la plaine côtière et aride du Pérou à quelques 400 Km au sud de Lima sur une superficie de 450 km2. Nous sommes intrigués et impatients de voir cela.

En route, nous nous arrêtons sur un petit marché qui regorge de fruits parmi lesquels trône une balance plutôt archaïque.

Des fruits à profusion… Nous nous laissons tenter!

Nous achetons des bananes et un melon. Il y a bananes et bananes!

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Nous arrivons à Nazca vers 17 heures, juste le temps de faire la queue au bas de la tour d’observation pour voir les lignes de Nazca et assister au coucher de soleil sur la panaméricaine.

Nous accédons en haut de la tour par groupe d’une dizaine de personnes de là, nous apercevons de grandes figures les plus proches de l’observatoire que nous tentons de prendre en photos.

A ces figures grandioses s’en ajoutent d’autres visibles uniquement d’avion…. tels le colibri, l’araignée, le singe, le lézard, la spirale et bien d’autres.

La conservation de ces tracés sur le sol durant des millénaires a été possible grâce à une quasi absence de pluie (1/2 heure de pluie par an!) et de vent sur cette plaine.

    

Le singe est un de mes préférés, on le voit sur les murs en déco, en bijou..

Nous assistons au coucher de soleil, les derniers rayons soulignent les lignes de Nazca.

La panaméricaine dans son tracé rectiligne traverse ce désert noir aux collines rougeâtres.

Nous arrivons à Nazca, ville de 40 000 hab.

Nous nous installons à l’hôtel.

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Séance de présentation au planétarium de Nazca : on découvre la théorie de Maria Reiche (mathématicienne allemande qui a consacré sa vie à l’étude des lignes de Nasca) et la relation qu’elle trouve entre les lignes de Nazca et certains évènements astronomiques.

Ci contre, ce sont les figures que l’on a pu voir et photographier de la tour d’observation.
A la fin du spectacle, nous avons pu observer grâce au télescope : saturne entouré de son anneau et d’autres planètes et corps célestes.

Nous rentrons à l’hôtel pour dîner et dormir.

Soirée en musique parmi des péruviens contents de partager ce moment et de poser pour nous.

Le toit de la salle est soutenu par des poutres en bois qui ressemblent à des arbres ou à des cactus en bois?…

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Jour 2 : Aperçu de Lima à 5h du matin

Un périple de 600km soit environ 7h de route, nous attend, partant de Lima pour Paracas, puis Ica et enfin arrivée le soir à Nazca.

Ce matin (4h) petit déjeuner light : un sandwich + une petite banane + un jus d’orange par personne. Certains se sont resservis… du coup pas de déjeuner pour les retardataires, ça râle…
Il pleut. Certains du groupe interpellent le guide (pas de Lima « by night » hier au soir, petit déj minable…). Il fait encore nuit, nous partons pour une visite rapide de Lima.

La ville est moins illuminée que de nuit, mais nous nous arrêtons sur la « plaza de armas » aux proportions imposantes. A 5h du matin, elle est déserte. Elle est bordée sur 3 côtés par trois des principaux édifices du pouvoir péruvien : l’hôtel de ville, la cathédrale et le Palais de l’archevêché aux magnifiques balcons de bois ajouré, au sud par le palais présidentiel.

Lima est une ville très animée, les grandes surfaces sont ouvertes 24 h/24. Jour de repos le dimanche. Beaucoup de bâtiments coloniaux et républicains.

Nous passons devant l’hôtel, le plus ancien de Lima, réputé pour être hanté ! Des noms de rue évocateurs : rue de la feuille de coca, rue des menuisiers…
La gare où passe le train le plus haut de la planète car il franchit un col à 4000 mètres d’alt. Style baroque, métisse sur les façades des bâtiments. Les arènes où se déroule la corrida en octobre, les quartiers populaires…

La statue du Christ blanc, au total plus d’une centaine de km d’un bout à l’autre de la ville.

Lima, station balnéaire est toujours dans le brouillard, la bruine : c’est du à la rencontre de 2 courants, l’un chaud « el niño », l’autre froid d’où son nom de ville triste . De fin décembre à avril, soleil, eau à 10-12°, température extérieure 33°, le reste du temps jamais de soleil.  Ici, il ne gèle pas (0° minimum).

Pas vraiment de saison, pas d’hiver, pas de neige. Fin avril, c’est la fin de l’été, mai : mois de transition.

Problèmes sociaux, les gens quittent les montagnes pour la ville (grande migration vers la côte pacifique), entraînant l’augmentation de la population concentrée à Lima.

A l’ouest : l’océan, à l’est : la falaise, finie l’augmentation horizontale (plus de place) maintenant augmentation verticale (buildings).

Ces jeunes venus des montagnes vivent de façon sommaire sans eau, ni électricité, dans des cabanes en paille construites dans l’illégalité, sans titre de propriété. Ils vivent du travail agricole comme journalier et attendent chaque jour la venue de grands propriétaires en camion ou en bus. Travail surtout manuel : 200 euros c’est le salaire minimum.

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Jour 2 : ICA

Nous arrivons à Ica.

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Ica est une ville du Pérou située sur la Panaméricaine à 300 km au sud de Lima. C’est la capitale du département et de la province du même nom. La population est d’environ 170 000 habitants.

C’est à Ica et ses environs qu’est produit le célèbre Pisco. La région produit en effet du raisin et du vin. Chaque mois de mars, une Fête des Vendanges se déroule dans la ville avec défilés de chars, musiques et danses afro-péruviennes.

Le cimetière est composé de niches superposées où sont placés les cercueils en hauteur (plus de place sous terre). L’incinération coûte cher et est peu pratiquée.

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La ville abrite un musée important (Museo Regional de Ica) que nous allons visiter, avec en particulier des momies précolombiennes au crâne allongé et présentant des traces de trépanation, ainsi que des meubles, des peintures et autres objets de l’époque coloniale.


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Visite du Musée archéologique d’Ica : nombreuses poteries, les momies conservées ont été retrouvées en position assise (position fœtale des corps), les genoux touchant la mâchoire inférieure et enveloppées de plusieurs couches d’étoffes. 

     L’une d’entre elle était enceinte, le bébé qu’ elle portait a été extrait de son ventre, enveloppé dans un tissu et déposé sur sa mère. Momie d’enfant mort de tuberculose. Elles portent des cheveux, quelques lambeaux de vêtements…

Nombreux crânes montrent d’importantes déformations en pointe , faites intentionnellement (véritable torture) sur les incas vivants en position couchée avec des planches pour les aplatir. Ces déformations étaient un signe distinctif de noblesse.

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D’autres sont trépanés pour quelle raison ? On ne sait pas si c’était rituel ou médical?
Les gens ont survécu à leur trépanation.

Différentes coiffures inca sont exposées aux barrettes en os.

Nous sommes saisis par ce spectacle.

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Nous déjeunons à Ica , nous avons faim :
AU MENU
Asperges vertes et orange
Escalope de poulet à la crème + Riz+ Carottes
Glace et Salade de fruits
C’est simple et délicieux.

Avant de quitter Ica, certains optent pour une ballade en buggy dans les dunes. Le spectacle est grandiose.

  

Le buggy dévale, à toute allure, les pentes, donnant à l’équipage l’impression qu’il va  chavirer à tout moment. Dans ce désert de sable et de dunes nivelées par le vent, les sensations sont géniales!…

Un bon moment, idéal pour favoriser la digestion.

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Jour 2: PARACAS

Nous quittons Lima pour PARACAS. Nous roulons sur la route « panaméricaine » sud qui longe la côte pacifique ( 30000 km goudronnés), colonne vertébrale du réseau routier :
Canada       ->            Equateur     ->            Pérou     ->       Chili du sud .  
En 1990, le président du Pérou a fait retracer et regoudronner la panaméricaine.
Un contraste saisissant dans ce paysage où se côtoient le désert, la montagne et l’océan.

   

Des  poubelles, par tas, jonchent cette voie rapide. Au Pérou, pas de traitement des ordures.
En route, contrôle routier des bus : tolérance zéro (disque, attache ceinture, nombre de chauffeurs, vitesse 90 km/h) .
La côte péruvienne se présente sous la forme d’un immense désert de 3 000 km du nord au sud.

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Seulement 10% de la superficie du Pérou est utilisé pour les cultures, possibilité de l’augmenter en utilisant l’irrigation des déserts. Les nombreux cours d’eau qui naissent dans les Andes et descendent à pic en direction du Pacifique ont permis l’irrigation de la région, à l’origine très arideLa construction des canaux date de la période pré inca.

Terres très fertiles permettant la culture de nombreux fruits et légumes pour l’exportation plusieurs fois dans d’année, jusqu’à 4 récoltes/an: asperges, artichauts, avocats, vignes, manguiers, figuiers, orangers, bananiers, maïs, paprika, coton , canne à sucre, riz, café, blé et pommes de terre.
Le coton est vendu à même le sol au bord des rues.

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Plus de 4300 variétés répertoriées par le centre international de la pomme de terre des Andes dont  300 sont cultivées dans la région du lac Titicaca (région d’origine de la pomme de terre) entre 3000 m et 4800 m d’altitude sur des terrasses irriguées et fertilisées avec le guano…

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La cochenille, introduite dans les cactus de la figue de Barbarie, est utilisée comme colorant dans l’industrie (textile, saucisson, rouge à lèvres) vendue de 80 à 150 voire 180 dollars le kg, exportée .
1er producteur de farine de poissons au monde.

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IMGP9101Elevage (en batterie) de poulets nourris au maïs jour et nuit, découverts le jour, aux pattes usées par le grillage  (1 ère  viande consommée au Pérou, la 2 ème  le bœuf, la + chère étant le porc).
Ses  ressources économiques : les mines de cuivre – argent – plomb – zinc.

Les régions centrales et sud de la côte péruvienne ont deux saisons bien marquées : la saison d’hiver entre les mois d’avril et octobre et la saison d’été entre les mois de novembre et mars .

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Nous embarquons pour la visite des îles Ballestras  situées dans une réserve avec 35 km de rivage.

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Visite du Paracas Lagoon : réserve nationale d’animaux maritimes (loups de mer, phoques, pingouins, albatros, otaries, dauphins, pélicans

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Le guano :  déjections des oiseaux en quechua  a joué un rôle économique pendant l’époque coloniale. En effet de grandes couches de guano s’étaient accumulées sur les îles Chincha, constituant un fertilisant naturel. A L’époque précolombienne, cet engrais est déjà utilisé.
De nos jours, l’engrais est ramassé tous les 3 ans, de petits murets de pierre ont été construits pour le retenir. Mis à sécher, ce guano est exporté comme engrais.

Notre jeune guide nous raconte avec passion tout ce qui est mis en œuvre pour la préservation des espèces, la protection du site et ce, malgré un temps maussade .

  

Plus loin, sur le flan d’une colline, on aperçoit le « candélabre » étrange figure gravée probablement dessinée par les mêmes personnes qui ont fait les lignes de Nazca.  

On a du mal à imaginer comment ces lignes ont été  dessinées sur cette colline avec autant de précision! 

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En quittant le bateau, sur le quai, de nombreux pélicans nous attendent patiemment pour une démonstration en échange de quelques soles.
Les temps sont durs!

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Deux magnifiques bougainvilliers entremêlent leurs branches soutenus par une pergola.
Terrasse de café ou restaurant?

Nous reprenons le car pour Ica.

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Partout dans la nature et au bord des routes, des arbres « huarangos » résistent à la sécheresse grâce à leurs racines verticales qui puisent l’eau en profondeur dans le sol. Des champs de paprika, des vignes… Beaucoup de terrains vagues qui ressemblent à des décharges où s’entassent bouteilles plastiques et canettes. La bière est la boisson alcoolisée la plus consommée au Pérou.

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Jour 1: Arrivée à Lima au Pérou

                                   Le Pérou

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Coincé entre l’Océan Pacifique et la Cordillère des Andes avec ses :
10% de côte : concentration des principales villes et industries
30% de montagne (les hauts plateaux, les Andes, les gorges…)
60% de forêt amazonienne
Littoral : 3079.50 km
Superficie : 1285215 km2 : 2 fois 1/2 la France Contour : 1015288 km
30 millions d’habitants
Langues : le quechua, l’aymara

Sa capitale : LIMA
Pays frontaliers : Equateur, Colombie, Brésil, Bolivie et Chili.
4 régions : LIMA- ICA- AREQUIPA-LA PUNA
24 DÉPARTEMENTS  

Pérou: pays des Incas, désert de pierres, paysage de volcans, de canyons profonds, où l’infini est grand . Là où les noms évocateurs sont multiples : Macchu Picchu, Titicaca, Cuzco, Aréquipa, Nazca… Des animaux d’un autre monde : lamas, vigognes, condors, vizcachas…
 Un circuit longeant le littoral dans le désert côtier, grimpant jusqu’à l’altiplano, traversant le lac Titicaca pour redescendre au nombril du Pérou et revenir au bord du Pacifique. Un parcours difficile lié l’altitude et à la rudesse du climat de certaines régions.

Lima, capitale du Pérou  est située dans le désert du Pacifique, au bord du Rio Rimac, l’un de ces petits fleuves qui traversent le désert en direction de l’Océan Pacifique. 9 millions d’habitants. Ville divisée en 42 arrondissements avec places d’armes. Les maisons sont en briques. C’est un mélange de quartiers animés, de rues résidentielles, de gratte-ciel et de joyaux architecturaux disséminés dans la ville.

 Au Pérou, c’est le début de l’automne. La monnaie est le Sole : 1 euro = 3 .10 soles
(idem pour le dollar), le taux de change varie.

imagesArrivée à l’hôtel  « Monté Réal » à 18h : cocktail de bienvenue : nous dégustons la boisson nationale à base de Pisco pur (eau de vie de raisin, sirop de sucre de canne, du jus de citron vert et de blanc d’œuf battu servi avec de la glace pilée).
Il est léger ce soir mais au fur et à mesure de notre voyage, la dose d’eau de vie va augmenter et nous chauffer la cervelle tout comme l’altitude. 

  

L’hôtel a des allures espagnoles: beaucoup de bois, de moulures, de tableaux anciens…

Le crépis blanc des murs fait ressortir les les boiseries…

Une mezzanine à balustres en bois qu’on ne peut qu’admirer.

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